Un scénario BDSM pour en faire une chienne

Nous sortions d’une séance d’essai d’un club de gym pommé dans une zone industrielle lugubre partiellement en ruine et en cours de réhabilitation. Lorsque nous sommes arrivés à la voiture, des mecs nous sont tombés dessus. Nous étions prêt à leur donner notre fric, la voiture et tout ce qu’ils voulaient mais c’était moi qu’ils voulaient !!!!!

Même si mon mari a essayé de nous défendre. En deux temps trois mouvements, il a été ceinturé et embarqué dans un hangar. On m’a embarquée de la même façon et conduite également dans le hangar où ils m’ont quasiment jetée dans une chambre froide, par chance arrêtée. Dans le noir j’avais beau crier, appeler à l’aide pendant que mes mains s’attaquaient à la porte lisse et dépourvue de poignet, personne ne répondait ou ne venait à notre secours.

Quelques minutes plus tard, la porte c’est ouverte, les brutes étaient là face à moi. Quand je leur ai demandé où était mon mari, ils m’ont dit de les suivre, j’allais pouvoir le rejoindre. En arrivant dans l’usine, mon coeur s’est arrêté de battre. Il était debout mains dans le dos sur un gros bidon avec une corde de pendu passée autour de son cou.

• Voilà c’est simple petite salope. Tu vas faire tout ce qu’on te demande et il vivra. Vous rentrerez chez vous ce soir. Si tu résistes, on met un coup de pied au bidon, et hop....

Même si je me doutais bien de ce qu’ils voulaient, j’ai connement posé la question. Dans ces moments là, on a les neurones perturbés.

• On veut qu’une belle actrice porno tourne un film avec nous. Le thème est la chienne soumise. Mais avant, tu vas nous nous exciter un peu en faisant un beau strip-tease !

Mon mari me regardait avec les yeux grands ouverts semblant me supplier. Ils ont allumé des éclairages, l’un d’eux a pris une caméra sur l’épaule pendant que les autres me guidaient vers des machines industrielles.

• Tu commences quand on te dit « go » et tu te déshabilles lentement en faisant ta petite salope. N’oublie pas ton mari, si c’est nul on mettra un coup de pied dans le bidon et couic.... Surtout, n’oublies pas de sourire, on veut que cela fasse vraie, du sensuel, de l’érotique.

La mort dans l’âme et les larmes aux yeux, j’ai fait l’impossible pour me déshabiller avec lenteur, alors que j’avais plus envie de tout retirer rapidement et de leur dire, « baisez moi et libérez nous qu’on n’en parle plus ». Mon body rouge et jaune fluo contrastait avec le lugubre de cette usine désaffectée tout comme ma nudité quand j’ai eu terminé.

Ce qui m’affolait c’est qu’ils n’étaient pas à visage masqué. Pourquoi ne se cachaient-ils pas ? Avaient-ils l’intention de nous tuer après s’être amusés ?

L’un deux est venu me mettre un collier de chienne, il m’a faite me mettre à quatre pattes et m’a mis un rosebud queue de chienne dans les fesses, un peu comme celui que nous avons à la maison quand mon mari qui est également mon Maître a envie de faire du pets-play. Le tournage a repris, comme une « bonne chienne » j’ai du marcher à quatre pattes devant les mecs, me frotter à eux comme si j’étais en chaleur. Au fur et à mesure de mes passages, ils sortaient leur bite et se branlaient.

• Présentes tes hommages à ces belles queues qui vont te baiser !

Le mot « hommage » avait une connotation très dégradante et fort claire, je devais les sucer. Ils ont fait une coupure pour me dire « sans les mains et comme une vraie chienne ». Moi je les aurais bien mordus en leur broyant les couilles, et au lieu de ça, j’ai tiré la langue et joué leur jeu. Pour essayer de raccourcir cette horreur, j’ai vraiment joué le jeu de la chienne, j’ai même fait la belle.

Deux d’entre eux ont apporté un matelas qu’ils ont jeté par terre. J’ai du m’y rendre toujours à quatre pattes puis me cambrer et remuer le cul. Je faisais même bouger ma queue comme si je les attendais avec impatience. Comme si un ordre leur avait été donné, ils se sont mis en cercle autour de moi avec la bite à la main. J’ai du lever la tête vers le plafond et sourire pendant qu’ils faisaient quelques photos de moi avec quatre bites au dessus du visage.

• Mets-toi bien à quatre pattes mais avec les bras et les jambes pliés pour ne t’appuyer que sur les coudes et les genoux ! M’a ordonnée la grande brute.

Tout en priant pour que tout cela se termine vite et qu’ils ne pendent pas mon mari, j’ai fait tout ce qu’ils me demandaient. L’un deux et venu attacher mes membres pliés avec des lanières. Physiquement je ressemblais vraiment à une chienne dans cette position. Ils m’ont ensuite demandée de me déplacer comme ça sur le matelas. Marcher sur les coudes et genoux n’est pas facile mais j’ai encore fait l’impossible pour les satisfaire.

Un des mecs a mis un préservatif, ce qui dans un sens me soulageais un peu. En même temps cela m’horrifiait parce qu’il annonçait, que l’heure d’y passer venait de sonner. Quand il s’est mis derrière moi et a commencé de fouiller mon intimité, il a demandé du lubrifiant, et pour cause, si j’aime les rapports sexuels très BDSM et même hard, là, je ne risquais pas de mouiller. Et puis il m’a prise comme ça, comme un brutus. J’ai encaissé et j’ai tout fait pour ne pas leur donner le plaisir de m’entendre gémir de douleur, gémissement qu’ils auraient pu interpréter comme du plaisir. Et puis ils ont encore fait une coupure.

• Là tu dois dire « oui, encore, c’est bon, des trucs comme puis baisez la chienne que je suis ». Pense à ton mari si tu as besoin de motivation parce que lui, il doit prier pour que tu sois coopérative.....

Encore une fois j’ai abdiqué et regardé la caméra qui s’était approchée, pour leur dire toutes les insanités qu’ils voulaient entendre et surtout filmer.

Le mec me tenait par les hanches et me baisait comme un âne quand je l’ai vu.

Le mec me tenait par les hanches et me baisait comme un âne quand j’ai été soulagée.

Le mec me tenait par les hanches et me baisait comme un âne quand j’ai eu une envie de MEURTRE.

Mon mari et Maître était libre et buvait une bière en fumant une cigarette ! L’en....

C’est là que j’ai tout compris, il m’avait organisée un gang bang BDSM hard comme je les aime mais cette fois, en s’impliquant comme une pseudo victime.

La colère passée, j’ai trouvé que les mecs étaient finalement très sympathiques ! J’ai joui comme une malade, deux d’entre eux ont été « douchés » par la femme fontaine que je suis. Quand, à ma demande, ils m’ont retirée les entraves des jambes et des bras j’ai vraiment pu m’éclater.

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Maître vous êtes fou

Maître je vous haïs et je vous aime.

FIN

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite mais....

MAIS, en tant qu’acteur et Maître, il m’est arrivé et m’arrive encore d’organiser des plans qui font peur, pour faire du bien. Celui là n’a jamais été réalisé.

Accessoires pour le pets-play